Le pouvoir du NON
Torticolis et maux de cou
Sans y être régulièrement confronté, il est bien difficile de s'imaginer le nombre de personnes qui souffrent du cou, et plus particulièrement de fréquents torticolis.
Si le stress est le mal du siècle, le torticolis en est l'une des expressions corporelles les plus fréquentes.
Souvent négligés et attribués à de très nombreux phénomènes, les maux du cou pourraient aisément se réduire avec une petite technique extrêmement simple, et bien délicate à réapprendre.
Un mot pour réduire les maux
En médecine chinoise, comme dans de nombreuses traditions, on reconnait que les torticolis sont liés essentiellement à une incapacité à dire " NON ! "
En théorie, il suffit donc d'un mot pour réduire nos maux de cou... Cela paraît tellement simple, et pourtant rares sont les personnes qui parviennent brusquement et soudainement à se réapproprier ce petit palindrome.
Mais, au final, d'où vient se dysfonctionnement dans son usage ?
L'origine du mal
Mais quelle pourrait bien être l'origine de ce mal à dire non au mal ?
Si l'on y réfléchit bien, la réponse est relativement simple.
Quel est le premier mot que prononce la grande majorité des enfants ? Les enfants apprennent par mimétisme, dit-on, et pourtant on leur répète une grande quantité de mots que l'on voudrait leur faire dire en premier. Avant maman ou papa, ces deux petits termes que rêvent d'entendre chaque parent comme premier pas du langage de leur progéniture, beaucoup d'enfants commencent par le mot " NON ! "
Même si personne ou presque n'utilise ces trois petites lettres devant le nourrisson, cela reste une des préférences linguistique des plus petits. Se pourrait-il qu'ils perçoivent l'importance de ce terme, et peut-être même qu'ils tentent quelque part de nous le réapprendre en le puisant dans nos plus profonds et secrets désirs ? Bien-sûr, ce n'est pas très scientifique comme analyse, mais qui sait... En tous cas, moi je trouve cette idée séduisante et très poétique, suffisamment pour utiliser cette image afin de vous expliquer mon analyse de la situation.
Et qu'est-ce qui nous a tant éloigné de ce mot ?
Je dirais que c'est la culture, notre éducations, l'envie de bien faire et de faire plaisir... les causes ne manquent pas de nous priver de cette liberté, et pourtant celle-ci est indispensable au retour de notre libération de cette entrave socio-culturelle.
Alors, faites le choix de redécouvrir votre équilibre ! Lâchez prise de la bienséance imposée, et acceptez cette liberté retrouvée...
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